20 avril 2007, Lacanau, Hélitreuillage depuis une vedette de la SNSM
Je suis descendue à Lacanau avec Jean François Guiot « mon » maître de stage pour réaliser des photos de secours en mer et immortaliser un hélitreuillage sur un bateau. Après plusieurs reports, le bateau est remplacé par une vedette de la SNSM la veille de notre départ… A bord je discute avec les volontaires de la SNSM, prépare mon matériel (un Nikon FE et son 50 mm F/1,8) et j’écoute à coté Jeff organiser « sa » prise de vue…
L’EC-145 arrive à notre hauteur et les choses sérieuses commencent… pour ne pas gêner Jeff et son très grand angle je suis à l’arrière le secouriste équipé de la radio qui grimpe sur la cabine et tandis que l’hélicoptère nous survole en brassant son lot d’embruns, je manque une marche, m’agrippe in extremis à la rambarde, et relevant la tête découvre un angle de vue très sympa. Ma première photo au point de vue volontairement décalé. Ce qui deviendra une habitude plus tard n’est au départ qu’une bête chute enrayée.
Il est difficile de s’imaginer la quantité d’eau qui vole tout autour, « l’hélicoptère vole parce qu’il s’appuie sur l’air » plus encore que sur la plage ou le sable venait griffer mon matériel, l’eau n’aime pas. Tant bien que mal, j’expose ma pellicule grâce à un réglage fait un peu plus tôt, mon cadrage est grossier, je sais que j’ai le radio et peut être l’hélico en entier, mais rien d’autre. Je devrai attendre le retour à Paris, le développement et le scan pour avoir le verdict : légèrement surexposée, (l’eau en micro gouttelettes renvoie beaucoup la lumière, je saurai m’en rappeler) mais le cadre est bon, j’ai le mécanicien treuilliste et la contre plongée donne du dynamisme à l’image… Ouf je n’ai pas appris à nager à mon appareil et passé des heures à le sécher pour rien !
L’EC-145 arrive à notre hauteur et les choses sérieuses commencent… pour ne pas gêner Jeff et son très grand angle je suis à l’arrière le secouriste équipé de la radio qui grimpe sur la cabine et tandis que l’hélicoptère nous survole en brassant son lot d’embruns, je manque une marche, m’agrippe in extremis à la rambarde, et relevant la tête découvre un angle de vue très sympa. Ma première photo au point de vue volontairement décalé. Ce qui deviendra une habitude plus tard n’est au départ qu’une bête chute enrayée.
Il est difficile de s’imaginer la quantité d’eau qui vole tout autour, « l’hélicoptère vole parce qu’il s’appuie sur l’air » plus encore que sur la plage ou le sable venait griffer mon matériel, l’eau n’aime pas. Tant bien que mal, j’expose ma pellicule grâce à un réglage fait un peu plus tôt, mon cadrage est grossier, je sais que j’ai le radio et peut être l’hélico en entier, mais rien d’autre. Je devrai attendre le retour à Paris, le développement et le scan pour avoir le verdict : légèrement surexposée, (l’eau en micro gouttelettes renvoie beaucoup la lumière, je saurai m’en rappeler) mais le cadre est bon, j’ai le mécanicien treuilliste et la contre plongée donne du dynamisme à l’image… Ouf je n’ai pas appris à nager à mon appareil et passé des heures à le sécher pour rien !