EXIF | Appareil: NIKON D200 | Date: 29/01/2007 | Focale: 105mm | ISO: 100 | Ouverture: ƒ/5 | Vitesse: 1/90s |
Prévenue la veille de l’arrivée en hélicoptère du président de l’Azerbaïdjan en visite officielle en France, j’avais pris attache le matin même avec le Commandant militaire des Invalides. Celui-ci me donnant son feu vert pour prendre la photo depuis ses murs, rendez-vous est pris à l’heure prévue avec un des gendarmes du COMILI pour se rendre au drapeau –et pas au dôme, situé trop loin- et immortaliser l’ensemble de cette scène (l’esplanade, les jardins nord et la grille d’honneur des Invalides, la garde républicaine chargée de l’escorte… et les hélicoptères) pour reconstruire en post-traitement un gigantesque panoramique.
Nous montons une heure avant l’arrivée théorique des hélicoptères et prenons place au pied du drapeau. Depuis notre point haut, nous observons la scène qui se créée peu a peu : la circulation qui est arrêtée, les badauds et les unités d’honneur qui se mettent en place. Je cliche, les unes après les autres, toutes les scènes qui serviront à recomposer mon image, les drapeaux qui volent, les motos qui se positionnent, les voitures du convoi qui s’alignent.
Et le temps s’égrène doucement, nourri par l’angoisse de louper la seule photo impossible à refaire : le posé à proprement parler du puma présidentiel. Finalement celui-ci s’approche face à nous, dans l’axe de la place, je prends des photos de sa progression puis me mets en mode rafale 3 images par seconde. Je ne prendrai qu’une série de 4 images, mais parmi elles : celle-ci. La lumière du phare sur le sol, l’ombre de l’hélicoptère… Bien plus intéressante que l’hélicoptère posé !
Nous montons une heure avant l’arrivée théorique des hélicoptères et prenons place au pied du drapeau. Depuis notre point haut, nous observons la scène qui se créée peu a peu : la circulation qui est arrêtée, les badauds et les unités d’honneur qui se mettent en place. Je cliche, les unes après les autres, toutes les scènes qui serviront à recomposer mon image, les drapeaux qui volent, les motos qui se positionnent, les voitures du convoi qui s’alignent.
Et le temps s’égrène doucement, nourri par l’angoisse de louper la seule photo impossible à refaire : le posé à proprement parler du puma présidentiel. Finalement celui-ci s’approche face à nous, dans l’axe de la place, je prends des photos de sa progression puis me mets en mode rafale 3 images par seconde. Je ne prendrai qu’une série de 4 images, mais parmi elles : celle-ci. La lumière du phare sur le sol, l’ombre de l’hélicoptère… Bien plus intéressante que l’hélicoptère posé !